Particule chaude photographiée à son insu!
D’ailleurs, qu’est-ce qu’une particule chaude ?!
Une particule chaude est une saloperie qui contient d’autres isotopes venant du coeur des réacteurs et qui n’est pas répertoriée comme le fussent le césium 134 et le césium 137. C’est plutôt une mixture d’isotopes radioactifs formés de tellurium, de radium 226, et les célèbres césium 134 et 137, du cobalt 60 et tout un binz d’isotopes inconnus du grand public dont le 80 % provient du coeur même du réacteur, n’en rajoutez point! Une particule chaude donc – et on l’aura compris – qui n’est pas bonne du tout à avaler ou à inhaler si on veut péter de santé jusqu’à 100 ans, voire plus, ce qui tombe bien pour le Japon qui compte une quantité importante de centenaires.
Et cette dernière a été retrouvée dans un sac-aspirateur d’une maison qui est implantée à 460 km du site, à Nogoya plus précisément, soit de l’autre côté de Tokyo. Alors que sur place, sur le site de Daïchi, il y a tout tout plein de particules césium 134 et 137 qui continuent à polluer les nappes phréatiques, mais étonnamment, moins de particules chaudes que dans les baraques plantées à plusieurs centaines de kilomètres.
De quoi se sentir un peu mal, si on est hypocondriaque!
Mais on se rassure, le Japon est sous nos pieds, nous ne risquons donc absolument rien!
Allez, petite vidéo qui vous expliquera tout bien mieux que je ne saurais le faire et pour mettre un peu d’ambiance en ce début d’été!
MOTEUR!
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On ne peut que se réjouir de ce type de nouvelles, car que nous réserve encore Fukushima?!